saisir la voyance par mail : mon attestation
quand la par courrier électronique est un coup de boost pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai rosé que j’allais se déchirer. Passer du lycée à l’université, cela n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des examens écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes notes ont commencé à décliner, et je me suis mis à hésiter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurante. Un soir de juillet, énervé devant mes classiques de principe, je discute avec un collégue qui me traite de la par mail : « T’as une interrogation, tu envoies un mail, et tu reçois un texte détaillé dans la journée ». Ça m’a semblé plus profond qu’un tarot par téléphone ou un SMS de 3 contenus internet. Alors j’ai tenté : j’ai écrit un mail à Olivier, inculquant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes controverses, mes peurs, même mes mauvaises coutumes ( je séchais certaines fois les TD pour attacher en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec une variété d’espoir et de scepticisme.
C’était quelques semaines après ma dernière rupture sérieuse, et je me sentais réellement secoué. À 27 ans, on croit relativement souvent que la vie amoureuse est une sinécure, mais une rupture pourrait tout chambouler : on se redécouvre petit, on doute de soi, on perd un glane sentimental. Moi, je passais mes nuits à me poser mille questions : « Suis‑je passé à deux pas de quelque chose ? Vais‑je retrouver l’envie d’aimer ? Vais‑je être petit des années ? » Un soir, en scrollant sur mon cellulaire, je me considère tombé sur un texte officiant la voyance par courrier électronique tels que une méthode voyance olivier fait le point de recevoir un coaching sur mesure. Pas d’appel téléphonique anxiogène, pas de rendez‑vous à cacher : j’écrivais, j’envoyais, j’attendais. Curieux, j’ai formulé un mail aux environs de Olivier, le voyant recommandé, en lui enseignant ma occasion amoureuse, mes incertitudes, mes peurs, et en lui posant trois questions particulières : « Comment traiter de cette rupture ? Vais‑je consulter une personne encore une fois dans les sept futurs mois ? Qu’est‑ce que je dois changer en moi pour faire une relation saine ? » J’ai cliqué sur « transporter » et j’ai espéré, me demandant si ceci valait réellement le coup d'échanger aussi bien de choses individuelles avec un frais.